Maintenant je n'écris plus qu'en français
Viktor Kyrylov
04/04
Viktor, jeune ukrainien de 20 ans, se trouve à Moscou le 24 février 2022 lors de l’invasion russe en Ukraine. Il y vit depuis 3 ans, réalisant son rêve d’enfance : intégrer la plus prestigieuse école de théâtre russe, le GITIS. Il fait alors face aux bouleversements provoqués par la guerre : l’amour devient la haine, les amis d’hier deviennent les ennemis d’aujourd’hui. Le rêve d’enfance devient une trahison à son peuple.
Maintenant je n’écris plus qu’en français est une histoire ukrainienne. Elle nous plonge dans un conflit qui traverse des siècles de destins mêlés entre deux peuples et met en lumière le rapport qu’ils entretiennent aujourd’hui. Le récit intime et les circonstances politiques et historiques s’entrechoquent : la famille et la patrie, la jeunesse et la mort, la haine et l’amour, la trahison et la culpabilité … Le spectacle pose une question essentielle : pourquoi combat-on ?
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Aidez la création du spectacle auto-biographique de Viktor Kyrylov, en participant au crowdfunding du spectacle !
Distribution
Texte & interprétation Viktor Kyrylov
Sous le regard amical d’Eric Ruf
Régie générale en cours
Son Thomas Cany
Scénographie & costumes Constant Chiassai-Polin
Création lumière Anne Coudret
Conseil dramaturgique Laurent Muhleisen
Dans la presse
« Il évoque la douleur de se détacher d’une langue et d’une littérature russes qu’il aimait tant, et la culpabilité de ne pas être retourné en Ukraine pour combattre. C’est l’exil vu à travers les yeux d’un jeune qui rêvait de Tchekov plus que de kalachnikovs […] » - Le Canard enchaîné
« Maintenant je n’écris plus qu’en français est une chronique russo-ukrainien. […] Le spectacle met en lumière les conflits identitaires, les contradictions intérieures et les fractures de l’exil. Il est aussi une tragédie universelle. Il questionne avec force. Le théâtre devient un espace de vérité. Qu’aurions-nous fait si, alors que nous nous précipitions pour défendre notre pays, notre mère comme celle de Viktor nous avez supplié de ne pas rejoindre le front ? » L'autre scene
«Viktor oppose la puissance de l’art. Ce jeune homme, qui rêvait de planches et non de champs de bataille, nous rappelle que le théâtre peut être un acte de survie, un cri contre l’oubli et la violence. [Le spectacle] touche sincèrement laissant la salle bouleversée et les yeux embués.» - Lever de rideau
« Le théâtre, c’est ce qui me sauve » - Interview de Viktor Kyrylov par Stéphane Capron pour France Inter et Sceneweb
Production
Production Théâtre de Belleville
Soutiens Comédie-Française, le Jeune Théâtre National, l'Atelier des artistes en exil, Théâtre de l'Aquarium et Théâtre de la Tempête
Remerciements Élodie Laurent, Pierre-Victor Cabrol et Marianne Steggall
Avec la participation artistique du Jeune Théâtre National
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Infos/Tarifs
Avril & juin : Mer., Jeu. Ven.
et Sam. 19h, Dim. 15h
Mai : Mer. 19h, Jeu., Ven.
et Sam. 21h15, Dim. 15h
Offre duo web
1 place achetée
= 1 place offerte
du 4 au 18 avril
À partir de 12 ans
Durée : 1h30
Tarif plein : 27€*
Tarif abonné.e : 12€*
Tarif réduit : 18€*
Tarif - de 26 ans : 12€*
Distribution
Texte & interprétation Viktor Kyrylov
Sous le regard amical d’Eric Ruf
Régie générale en cours
Son Thomas Cany
Scénographie & costumes Constant Chiassai-Polin
Création lumière Anne Coudret
Conseil dramaturgique Laurent Muhleisen
Dans la presse
« Il évoque la douleur de se détacher d’une langue et d’une littérature russes qu’il aimait tant, et la culpabilité de ne pas être retourné en Ukraine pour combattre. C’est l’exil vu à travers les yeux d’un jeune qui rêvait de Tchekov plus que de kalachnikovs […] » - Le Canard enchaîné
« Maintenant je n’écris plus qu’en français est une chronique russo-ukrainien. […] Le spectacle met en lumière les conflits identitaires, les contradictions intérieures et les fractures de l’exil. Il est aussi une tragédie universelle. Il questionne avec force. Le théâtre devient un espace de vérité. Qu’aurions-nous fait si, alors que nous nous précipitions pour défendre notre pays, notre mère comme celle de Viktor nous avez supplié de ne pas rejoindre le front ? » L'autre scene
«Viktor oppose la puissance de l’art. Ce jeune homme, qui rêvait de planches et non de champs de bataille, nous rappelle que le théâtre peut être un acte de survie, un cri contre l’oubli et la violence. [Le spectacle] touche sincèrement laissant la salle bouleversée et les yeux embués.» - Lever de rideau
« Le théâtre, c’est ce qui me sauve » - Interview de Viktor Kyrylov par Stéphane Capron pour France Inter et Sceneweb
Production
Production Théâtre de Belleville
Soutiens Comédie-Française, le Jeune Théâtre National, l'Atelier des artistes en exil, Théâtre de l'Aquarium et Théâtre de la Tempête
Remerciements Élodie Laurent, Pierre-Victor Cabrol et Marianne Steggall
Avec la participation artistique du Jeune Théâtre National